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REMISE DE PRIX 2014

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

REMISE DE PRIX 2014
REMISE DE PRIX 2014
REMISE DE PRIX 2014
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REMISE DE PRIX 2014
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REMISE DE PRIX 2014
REMISE DE PRIX 2014
REMISE DE PRIX 2014

C'est dans le cadre accueillant de la salle des Castors à Buxerolles qu'a eu lieu notre traditionnelle remise de prix, lundi 1er décembre 2014. Assemblée, petite par le nombre, mais très attentive et chaleureuse. Bravo aux athlètes présents et aux bénévoles (jeunes et moins jeunes) récompensés!

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Michel MERCKEL : une passionnante conférence

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

Michel MERCKEL à l'école Irma JOUENNE
Michel MERCKEL à l'école Irma JOUENNE

En cette année de commémoration du centenaire de la guerre de 14-18, où des rétrospectives sont proposées un peu partout, les Amis de l'Athlétisme, pour se joindre à ces hommages ô combien justifiés, tout en restant dans le créneau qui est le leur, c'est à dire le sport, avaient convié Michel Merckel, ancien professeur d'éducation physique, judoka et sportif émérite, et surtout petit-fils de poilu, à venir à Poitiers faire une conférence sur ce thème, le vendredi 7 novembre, dans l'amphithéâtre de la Fac de Sport.

Devant un auditoire passionné (que l'on aurait aimé un peu plus fourni), le conférencier a tenu son public en haleine pendant une bonne heure et demi. Auteur d'un livre qui connaît un beau succès, 14/18 le sport sort des tranchées, il a démontré avec un luxe de détails et une grande érudition, comment pendant ces moments apocalyptiques et peu favorables au jeu, la pratique du sport, qui avant la guerre était relativement confidentielle, s'est largement démocratisée. Pour beaucoup d'entre nous, les arguments présentés par Michel Merckel, qui on le devine a fait un travail de recherche exceptionnel, ont été une découverte surprenante.

En effet avant la Grande guerre, la majorité des jeunes soldats appelés sur le front étaient surtout des paysans, et le sport ils le pratiquaient dans les champs... Cette guerre a été, comme on le sait, une grande boucherie et au fil des événements quelques gradés se sont aperçus qu'il était nécessaire d'avoir des soldats en bonne condition physique et que lorsqu'ils étaient en repos, au-delà des premières lignes, les activités qu'on leur proposait pour entretenir leur moral ne les enthousiasmaient guère... Des sportifs eurent une idée de génie, heureusement partagée par une partie de l'état-major, à savoir taper dans un ballon, courir, sauter, lancer des grenades, des grosses pierres, et surtout opposer des équipes, des représentants de régiments, des sections, le tout dans une ambiance de jeu et de camaraderie : pour beaucoup ce fut une révélation.

Je ne vais pas m'étendre trop et raconter la soirée, mais vraiment ce fut un moment très fort, et pour les sportifs intéressés par la genèse de leur violon d'Ingres, je leur conseille vivement de se procurer l'ouvrage en question (se renseigner auprès des Amis de l'Athlétisme). Au fil des commentaires pleins d'érudition et avec l'aide d'une projection de diapos, nous avons découvert comment, peu à peu, on a sensibilisé les hommes à la pratique d'une activité ludique qui faisait oublier pendant un (court) instant l'horreur des tranchées. Pour les gradés, évidemment l'intérêt était un peu différent, il s'agissait surtout d'avoir ainsi des combattants en meilleure condition physique que ceux d'en face...

On distribua des ballons, et des matchs homériques furent disputés sur des terrains qui feraient frémir nos champions actuels, habitués à un confort un peu plus consistant ! On pratiquait également la gymnastique sur des agrès rudimentaires, des matchs de tennis-volley, des épreuves de tir à la corde. Il faut savoir qu'à l'époque les sports les plus populaires étaient la boxe, dont des combats furent organisés pour distraire les soldats au repos et le cyclisme, dont les premiers Tours de France avaient enthousiasmé le public ; on apprendra ainsi que pendant les combats, des groupes de chasseurs cyclistes seront formés, dont le rôle militaire d'ailleurs ne sera pas anodin. Tout au long de cette conférence passionnante nous découvrons également un essor incroyable du sport féminin, la mise en place d'épreuves pour les handicapés, et Dieu sait s'ils étaient nombreux à cette époque. On parlera aussi du rôle de l'École de Joinville, ce chaudron d'où sont sortis tant de champions.

On ne peut terminer ce rapide portrait de la conférence de Michel Merckel sans parler de quelques champions disparus pendant la tourmente, et souvent alors qu'ils auraient pu échapper à leur sort : Jean BOUIN, par exemple, le premier coureur à pied français à avoir officiellement possédé des records du monde en athlétisme, réformé dans un premier temps (il avait un cœur trop gros !) fit des pieds et des mains pour participer aux combats et tombe au front dès le mois de septembre 1914 ; le vainqueur du Tour de France de 1910, Octave LAPIZE, qui était sourd et de ce fait réformé, tenait absolument à participer aux combats. Il s'engage dans l'aviation, devient un pilote accompli et il est tué lors d'un combat aérien en 1917 ; un autre vainqueur du Tour, dont le père était Luxembourgeois et ainsi non mobilisable, François FABER, le "Géant de Colombes", s'engage dans la Légion étrangère, car il veut à tout prix participer aux combats ; il est tué dans le Pas-de-Calais en octobre 1914, son corps ne sera jamais retrouvé... On pourrait citer bien d'autres héros de ce conflit meurtrier : Michel Merckel a recensé 425 champions, tous sports confondus, disparus au front !

Sans parler de ceux qui, revenus handicapés, ont repris le chemin des stades et avec ténacité ont renoué avec le succès, comme par exemple Joseph GUILLEMOT, ancien chasseur à pied, qui a découvert l'athlétisme au front : victime d'une attaque au gaz moutarde, il a le poumon atrophié. Cet événement tragique ne l'empêche pas de s'entraîner d'arrache-pied après la guerre et en 1920, aux Jeux d'Anvers, il remporte le 5 000 m devant le légendaire Finlandais Paavo Nurmi... Un autre exemple extraordinaire, c'est celui du boxeur Eugène CRIQUI : il a eu la mâchoire inférieure fracassée, des dents arrachées et la langue tranchée par une balle lors de la terrible bataille des Éparges ; il devient alors ce que l'on appelait une gueule cassée. Subissant sept opérations, il est considéré comme perdu pour le sport. Contre l'avis de tous il reprendra le chemin des rings et le 2 juin 1923 il devient champion du monde des poids plumes !

Après ce conflit titanesque, le sport qui a perdu tant de champions, connaît contre toute attente un essor impressionnant, car il y a eu aussi des contacts formidables entre les nations alliées, comme les Anglais les Néo-Zélandais, grands spécialistes du rugby, les Américains, où le basket est roi, les Australiens grands adeptes des sports de plein air. Cet échange entre divers peuples, tous avec des motivations différentes, a créé un brassage d'idées et d'amitié formidable et la pratique du sport après la guerre en a profité : des fédérations se sont créées, des épreuves comme la future coupe de France de football dont l'inspirateur fut Charles SIMON, qui mourut lui aussi au front, ont trouvé leur origine pendant la fraternité des tranchées. Tout ceci est une face inconnue des événements tragiques de cette période, dont on ne parle jamais dans les manuels, un des seuls et très rares aspects positifs de cette guerre (avec les progrès de la médecine). On peut remercier Michel Merckel de nous l'avoir fait découvrir, et les Amis de l'Athlétisme de l'avoir invité pour en parler. Vraiment, pour les présents, une soirée inoubliable. Alain RUDELLE;

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EN ATTENDANT MICHEL MERCKEL

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

Bonjour,

Vous le savez, les Amis de l'Athlétisme de la Vienne, ont invité le conférencier Michel MERCKEL vendredi 7 novembre 2014 à Poitiers.

La presse en parle et voici les liens:

http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2014/10/31/CONFERENCE-14-18-le-sport-sort-des-tranchees-2100739

http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Communes/Poitiers/n/Contenus/Articles/2014/10/25/Le-sport-dans-les-tranchees-de-la-Grande-Guerre-2093763

A très bientôt, Monique.

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MEETING GPAO 2014

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

Le meeting national d'athlétisme de Poitiers 2014, s'est tenu le samedi 13 septembre à Rébeilleau. Même si le calendrier international a privé le public de la venue de Mélina ROBERT-MICHON et de Mayeddine MEKHISSI, même si Muriel HURTIS reçut une ovation sans même courir pour cause de blessure, le plateau fut un régal pour les connaisseurs: : BEN BASSAW, récent médaillé en relais à Zurich, fut acclamé sur 150 mètres puis fut contraint, par étourderie, de courir, pieds nus, son relais! Les sauts (hauteur fille, triple-saut masculin et perche masculin) furent de bonne tenue et les lancers tout simplement impressionnants, en particulier le javelot masculin. DURECHOU n'a pas renouvelé l'exploit de l'an dernier, mais termine 3ème derrière le Tchèque FRYDRYCH (76,76m) et le Belge HERMAN (76.73m). La fête de l'athlétisme fut complète avec les relais des jeunes de l'UNSS et le 1500 m fauteuil très disputé. 5 Amis de l'Athlétisme (Marie-Claude, Monique, Jean-Claude, Olivier et Jean-Paul) ont participé à la réussite de cette manifestation.

Rendez-vous le 12 septembre 2015.

Photos JFQ

Résultats complets:

http://bases.athle.com/asp.net/liste.aspx?frmbase=resultats&frmmode=1&frmespace=0&frmcompetition=161484

MEETING GPAO 2014
MEETING GPAO 2014
MEETING GPAO 2014
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MEETING GPAO 2014
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Conférence 7 novembre 2014

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

Conférence 7 novembre 2014

Michel MERCKEL, petit-fils de poilus, professeur d'éducation physique et sportive à la retraite, passionné d'histoire dès son enfance marquée par le souvenir encore vivace de la Grande Guerre, a publié en 2012 (réédition complétée en 2013), un ouvrage conciliant sport et histoire : "14-18, le sport sort des tranchées". Cette publication suscite aujourd'hui un large retentissement, amplifié par les médias régionaux et nationaux, par les nombreuses conférences tenues et sollicitées partout en France, jusqu'aux Ministères des Armées et des Anciens Combattants, impliqués pour l'édification d'un monument à la mémoire des 425 champions français, toutes disciplines confondues, qui ont sacrifié leur vie pour la défense de la patrie.

Outre ce travail de mémoire, Michel MERCKEL montre le rôle du sport contribuant à la détente et à la préparation physique de nos poilus, pendant et en vue des combats, par des exercices et compétitions individuels, inter-régiments, interarmées, puis comment ont pris naissance de nombreuses fédérations sportives françaises et compétitions internationales, à l'issue de la guerre.

En cette année du centenaire, c'est à travers cet aspect original et passionnant de la guerre 14-18, que l'association des Amis de l'Athlétisme de la Vienne, vous invite à une conférence, par l'auteur, le 7 novembre prochain, à 18h30, dans l'amphithéâtre des Sciences du Sport de Poitiers, 8 allée Jean Monnet, bâtiment C6, sur le campus universitaire .

Michel MERCKEL y dédicacera son ouvrage. Un vin d'honneur offert par la mairie de Poitiers clôturera la soirée.

R. F.

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BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE

Comme tous les ans, les Amis de l'Athlétisme ont tenu une réunion à la salle Coquema à la Varenne de Saint-Benoît. Détente, convivialité, bonheur de se retrouver ont donné à cette journée beaucoup de charme.

BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
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BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
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BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
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UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

La traditionnelle réunion de détente de fin août début septembre a eu lieu samedi 30 août 2014 dans la salle de la Varenne de Saint-Benoît. Petit groupe, mais superbe ambiance pour une rencontre qui avait attiré des amis venus d'Orléans, Tours et Royan.

UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
UNE BELLE JOURNEE DE FIN D'ETE
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Claude BODIN: extraits d'"Athlétisme en Vienne" t.2

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

ANNEE 1974 (2)

Les courses sur route ne sont pas une invention récente. Aux deux-tiers du 19ème siècle, le cyclisme connaissait ses premiers balbutiements, et l’automobile perfectionnait ses moteurs, châssis et conducteurs par les rallyes Paris-Madrid ou Paris-Berlin. En attendant que l’avion dompte les airs, la course à pied et la marche, les deux s’alternant, exploraient les péripéties liées aux longues distances : Paris-Toulouse, Paris-Belfort, Paris-Bordeaux ; la province emboîtait le (les) pas : tour des Remparts, des Boulevards, circuits militaires… Le tout allègrement relaté par une presse qui devait coûte que coûte accroître son lectorat. Sur un plus petit pied, si j’ose dire, l’entre-deux guerres offrit aux jeunes gens l’occasion de se tester lors d’épreuves animant les fêtes de villages, assemblées, frairies, ducasses, kermesses ou autres appellations régionales. Jules Ladoumègue (record du monde du 1500m en 3’49’’2 en 1930) découvrit ainsi l’athlétisme. La période suivant la fin de la seconde guerre mondiale fut assez friande de ce divertissement, les lots offerts originaires des basses-cours n’étant pas étrangers au déferlement des participants urbains qui avaient connu cinq longues années de restrictions. Avant 1974, on avait eu droit aux « corridas » du 31 décembre, à Saintes, Cerizay, Couhé-Vérac, lorsque nous parvint, par l’intermédiaire de « Spiridon », remarquable revue suisse de course à pied, une invitation pour Marvejols-Mende, 23km dans la montagne lozérienne avec deux « cols » à franchir. La sympathie de l’accueil, le côté déjanté des organisateurs et les ressources gastronomiques des sites eurent tôt fait de dissiper le surnombre des lactates dans les muscles !!! Huit cents personnes se pressaient au départ dont « Antoinette » une robuste paysanne qui fit la distance, en jupe, en 3h30. Le nombre de participants crût jusqu’à deux milles puis se tassa.

ANNEE 1975

Indéniablement, Jean-Paul le Ligugéen franchit à 30 ans un échelon décisif dans sa carrière. En devenant champion de France pour la 1ère fois sur 10000m, à Saint-Etienne, il devance non seulement Tijou et Liardet, mais fait litière des dernières pesanteurs et inquiétudes pour postuler à un niveau encore plus haut. Ca se confirme en coupe d’Europe à Leipzig où il monte sur le podium seulement devancé par un vainqueur du cross des Nations (Paivarinta) et un futur double champion olympique (Cierpinski). Autre évènement d’importance : la tenue des Jeux Mondiaux Scolaires cadets et Juniors à Poitiers les 7 et 8 juin. Dix-sept délégations venues d’Asie, des deux Amériques, d’Afrique et de toute l’Europe ont lutté fraternellement aux joutes de l’athlétisme. On a évalué à douze ou treize mille personnes le nombre de spectateurs qui se sont succédé dans les tribunes. Les plus jeunes scolaires de la Vienne étant conviés à participer à des animations puis à assister aux compétitions. Les autorités de tout poil, dûment mandatées, remplissaient la tribune officielle. Et tout ce joli monde ne fut pas avare en applaudissements, d’autant que les trois qualifiés de la Vienne se couvraient de gloire, empochant deux titres : Yvan Nanot à la perche (4m90) et Philippe Poupard (14,87m au triple saut) ; deux finalistes s’y rajoutaient : Yvan Nanot 4ème au disque et Eric Machala 6ème au javelot.

Extraits des pages 36 et 37 d’A.E.V. tome 2

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MEKHISSI DEMENAGE EN RENTRANT DE ZURICH : IL VA HABITER PORTE MAILLOT

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

Jeudi 14/08 – La pire et la meilleure des journées aux championnats d’Europe. En suivant des yeux le déroulement du 3000m steeple –qui fut ma spécialité je le rappelle- j’en admirai la probable conclusion. Une allure très, très raisonnable, avec un Mekhissi se baladant littéralement, un Kowal petit par la taille mais grand par son habileté tactique et son sprint ravageur dans le dernier tour. Un peloton tétanisé, personne ne bougeant même pas une oreille en attendant que Mahiédine s’en aille. Ce qui fut fait promptement ; l’écart se creusa inexorablement, Kowal 20 mètres derrière ramassait les morts et donc les français firent 1er et 2ème. Et alors chroniqueur, où est le sel de l’histoire ? Justement voilà la salière : Gorgé de sueur salée, le maillot du champion d’Europe putatif lui pesa subitement, et l’envie lui prit de s’en dévêtir, de s’aérer, de sauter même le dernier obstacle en le tenant entre ses dents qu’il avait carnassières. Son torse huilé et impressionnant à la manière d’un gladiateur-décathlonien ou d’un discobole, la ligne droite passa si vite qu’il ne remit le maillot qu’une fois la visée électronique accomplie. Ce n’est pas bien, lui dit un monsieur à chasuble brandissant un carton jaune, la prochaine fois on vous donnera une fessée (si vous enlevez votre short !). Passait par là un espagnol de l’armée en déroute, 4ème de la course je crois, plus bovidé sans talent que taureau de combat, qui flaira l’aubaine. Il avait lui-même été disqualifié pendant une couple d’années pour avoir été contaminé en 2010 par un steak contadorien. « Article 143-7 » criait-on avec raison, mais sans grandeur du côté de Madrid. Et oui, le maillot et son dossard doivent être portés tant que la course n’est pas finie. La faiblesse de l’argumentation déployée par le français fut aussi ridicule que sont sublimes ses talents athlétiques : « les footballeurs le font, je croyais que c’était permis ». Redevenons sérieux, et là je n’engage que ma modeste personne. MMB était passible de disqualification, mais un règlement équitable restant peut-être à écrire aurait dû lui valoir immédiatement un carton rouge, et ses deux suivants –ils en étaient d’accord- gardaient leurs places acquises sur la piste puisqu’ils n’avaient pas été gênés par quiconque pour postuler à la marche supérieure. Et l’Espagnol remballait ses castagnettes. Kowal aurait ainsi pu goûter pleinement la saveur de sa belle médaille d’argent ; Mekhissi en pétard préparer comme il le fit sa savoureuse revanche sur 1500m –quel talent, ce mec…ici. Et nous, sportifs de canapé, continuer à vibrer à l’or de Campaoré au triple Bond007 et au bronze de PML sur 110m haies qui avait un peu prématurément vendu la peau de l’ours (ou de la Russie) avant que Shubenkov ne s’en empare. Finalement une belle journée ce 14/08, comme elles le furent toutes à Zurich, écluses célestes ouvertes ou pas

. Claude Bodin 19/08/2014

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MARATHON AU FUTUROSCOPE

Publié le par Amis de l'Athlétisme de la Vienne

MARATHON AU FUTUROSCOPE

Pour l'ami Jean-Paul BRANDET, organiser le marathon du Futuroscope est une épreuve parfois harassante. Quasiment depuis les débuts de cette épreuve, les Amis de l'Athlétisme aident cette manifestation en remplissant les sacs remis à chaque participant, de publications et publicités diverses. Cette année, l'équipe, bien conseillée par Robert et Olivier, a rempli 2500 sachets, soit 1000 de plus que l'an dernier, le tout dans une atmosphère rappelant parfois les voyages en bus d'autrefois. Cela vous fait envie ? Venez nous rejoindre l'an prochain. Monique

MARATHON AU FUTUROSCOPE
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